Sacrés rushes !
Depuis quelques années, on a pu observer un changement dans la relation que les monteurs ont avec les rushes.
Le respect pour cette matière brute – qui confinait parfois à une sorte de sacralisation – a été banalisé.
On est passé progressivement de la projection de rushes (ou du moins du visionnage) au dérushage. Une dénomination qui sonne un peu comme débarras…