Juin 2005, “OUTILS DE MONTAGE BON MARCHÉ, RETOUR AU TRAVAIL PARTAGÉ ?”
1. INFOS :
CONTACTS : Du Burkina Fasso au Canada, l’association a été contactée de nombreuses fois par le biais de notre site internet.
LETTRE À J.-L. DEBRÉ : Cette demande (+ de 8000 signatures) à l’initiative du Comité de Suivi au président de l’assemblée nationale d’inscrire la PPL aux débats dans les meilleurs délais est restée sans réponse. « Promesse » est faite par le ministre de la culture que s’il n’y a toujours pas d’engagement à négocier de la part des partenaires sociaux en septembre, il envisagera, alors, de recourir à la loi.
LES SCRIPTES ASSOCIÉES : Elles souhaitaient en savoir plus sur notre fonctionnement. A l’issue de cette rencontre nous avons décidé de réunir sur le problème des stagiaires conventionnés avec d’autres associations de professionnels à l’automne prochain.
2. LA CHARTE DU TÉLÉFILM – suite :
Les réalisateurs de fiction TV du Groupe 25 Images ont lu notre Charte du téléfilm et nous ont proposé d’écrire une lettre commune à l’intention des producteurs et diffuseurs concernés.
3. DÉBAT : « OUTILS DE MONTAGE BON MARCHÉ, RETOUR AU TRAVAIL PARTAGÉ ? » :
Des équipes ayant eu des expériences de travail partagé sur des stations de montage moins chères racontent comment elles se sont organisées sur plusieurs machines, sans réseau, et ont contournés les problèmes liés par exemple au 24 i/s. Le détail des configurations présentée fera l’objet d’une prochaine publication mais ces récits nous ont permis de voir qu’il y a des solutions pour en finir avec le travail de nuit ou décalé pour l’assistant !
Malheureusement du côté des monteur(se)s son, il semblerait que la version légère de ProTools n’a permis à personne de retrouver un assistant alors que la surcharge de travail en 5.1 en serait l’occasion.
DANGER Les monteurs(se)s ne deviennent-ils pas des informaticiens ? Et les assistant (e) s des prestataires de services lorsqu’ils fournissent leur propre matériel ? Même si ce matériel personnel a été le moyen de vérifier qu’une configuration moins onéreuse fonctionnait techniquement, il doit être facturé à la production.
HOT LINE et SOLITUDE DU MONTEUR… Les productions sont tentées de faire l’acquisition de ce matériel, mais qui va en faire la maintenance ? Un matériel mal entretenu a des conséquences économiques désastreuses sur la post-production d’un projet.
« Ne subissons plus le matériel, prenons-le en main ! » Imposons, nous aussi, nos listes de matériel.
Les compte-rendus complets des réunions mensuelles de l’association sont envoyés chaque mois aux adhérents.
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